Jean Delescluse

En 1992, Jean Delescluse débute à l’Atelier Lyrique puis dans la troupe de solistes de l’Opéra national de Lyon.
Tamino dans une version française de La flûte enchantée revisitée par Louis Erlo, La station thermale, création de Fabio Vacchi reprise à La Scala de Milan, Les noces de Figaro dans la mise en scène de Jean-Pierre Vincent ou encore Le songe d’une nuit d’été dans la vision de Robert Carsen.
Il participe également à des enregistrements discographiques et vidéographiques : En 1997, devient indépendant et développe une carrière européenne.à l’opéra, en concert, en oratorio et en récital.
Aux côtés de Gérard Lesne -Il seminario musicale- en Suisse, ou avec l’ensemble des lumières 21 au 
festival d’Ambronay, en Israël, au Brésil et en Bolivie, il interprète l’évangéliste de la Passion selon Saint-Matthieu avec l’Orchestre de la Radio de Leipzig au Gewandhaus et à Berlin, les airs solos de cette même passion avec Jean-Claude Malgoire au Théâtre des Champs-Elysées, il est également le récitant de L’enfance du Christ de Berlioz à Hambourg sous la direction de Christoph Eschenbach.
En duo avec le pianiste Alexandre Tharaud et avec des comédiens (François Morel, Jérôme Deschamps), dans des programmes thématiques (Erik Satie, Max Jacob, Raymond Queneau), à la Bibliothèque Nationalede Paris, au festival « Classique au vert » de Paris, au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, en Estonie, en Finlande…
Il interprète également le Lied allemand, comme La belle meunière à la Fondation Royaumont, les amours du poète de Schumann à la Sorbonne ou encore des quatuors vocaux de Brahms au festival de l’Empéri avec les pianistes Michel Dalberto et Eric Le Sage.